Monday, December 1, 2014

Thursday, October 9, 2014

réflexion du cours du 8 octobre

J'aimerais repartager le personnage que Charlotte a choisi pour sa minibiographie:  Jesse Gouchey.  C'était la première fois dont j'ai entendu parler de lui, et il est un excellent artiste qui fait des graffitis.  C'est à voir!

Saturday, October 4, 2014

Tomson Highway








J’ai découvert les travaux de Tomson Highway il y a quelques ans dans un cours de littérature canadien à UVic.  On a lu son livre semi-autobiographique Kiss of the Fur Queen, qu’il a écrit en 1998. 

Tomson Highway est le fils d’un musher (de traineau à chiens) célèbre Joe Highway.  Il est de nationalité Cree, et il a travaillé beaucoup avec l’assistance sociale des autochtones de sa communauté.  Après, il est devenu écrivain.  Il travaille des romans, des pièces de théâtres et de la musique.  En 1986, il est devenu très célèbre au Canada pour sa pièce de théâtre The Rez Sisters.

Son livre Kiss of the Fur Queen est à propos de deux frères Cree qui habitent au Manitoba.  Ils sont pris de leurs familles pour assister aux écoles résidentielles.  Là ils vivent beaucoup de douleurs.  Il faut qu’ils abandonnent leur culture autochtone, et ils souffrent de l’abus sexuel.  En lisant ce livre, on peut trouver plusieurs traits entre sa vie personnelle et les personnages de son histoire. 


Il a maintenant 62 ans et il habite à Brochet, Manitoba.

source: son site-web 

Réflexion pour le 8 octobre


L’expérience des réserves et des écoles résidentielles était quelque chose qui a absolument détruit les familles et les liens de communauté pendant longtemps.  C’est clair qu’il y a encore des problèmes non résolues dans les communautés autochtones à cause de ça.  Pendant cette période, les enfants ont été enlevés de leurs familles et ont été déchus de leurs identités.  Ils ont dû couper leurs cheveux, abandonner leur langue et leur religion et adopter les nouvelles.  Après que ces systèmes ont été condamnés, beaucoup d’autochtones ont souffert un manque d’identité total.  Beaucoup d’entre eux ont souffert de l’abus sexuel, et n’était plus la même personne que l’enfant qui était pris de sa famille.   Certains se sont tournés vers l’alcoolisme, qui a bien sûr mené à d’autres problèmes d’aujourd’hui.  C’est très important de se souvenir de cette information pour bien comprendre les problèmes des autochtones d’aujourd’hui.  S’ils ont des problèmes sérieux, c’est presque toujours à cause des colons européens qui ont changé leurs vies pour toujours.    Si nos étudiants sont assez âgés à comprendre, je dirais qu’ils devraient savoir cette histoire. 

Wednesday, October 1, 2014

"Le Peuple Invisible"

J'étais très surprise par la section du film à propos du Lac Simon.  Là, 90% des jeunes sont interalliés: une conséquence des réserves et de la vie occidentale.  C'est une grande différence dans la vie des autochtones parce qu'ils ne sont plus nomades.  C'était épeurant d'entendre ces statistiques!  

Tuesday, September 23, 2014

Cette semaine j'ai pris une photo de la clinique Khatsahlano, qui est en plein centre du cartier Kitsilano.  Beaucoup de Vancouveriens ne savent pas que ce nom est emprunté d'un chef de la nation Squamish: August Jack Khatsahlano.  Il est né à Stanley Park et il a vécu la plupart de sa vie à Squamish.  Là, il était bien connu comme homme qui exerçait la médecine et qui voulait continuer la tradition orale Autochtone.  Il était amical avec les Authochtones et les premiers colonisateurs de Vancouver.  Le cartier a donc reçu son nom (anglicisé).

Autre que cette clinique et le cartier, le nom de Chef Khatsahlano se trouve d'autres endroits aussi.  Il y a le Festival de Khatsahlano, l'école secondaire Kitsilano et un nouveau bar "The August Jack".


Wednesday, September 17, 2014

Réflexion le 17 septembre


On a parlé de l’acronyme STA: Savoir Traditionnel Autochtone en groupes de deux. Renée et moi on discuté de la différence du « savoir autochtone » et du « savoir traditionnel autochtone ».   Que veux dire ce mot ci ?  On a souligné le fait que quand on parle du mot traditionnel, on le lie facilement avec les coutumes, les langues et l’histoire des peuples autochtones, mais on ne pense pas de la science ou la technologie.  On se demandait si ce serait le cas si on parlait des colons ?

Monday, September 15, 2014

Réflexion du cours du 10 septembre

Avant la semaine passée je ne savais pas vraiment quels mots étaient politiquement corrects et lesquels étaient péjoratifs en parlant des autochtones en français.  J’ai appris qu’il y a plusieurs mots qui sont encore utilisés par le gouvernement du Canada (par exemple : le mot indien qui est encore employé pour faire référence à la Loi sur les Indiens, etc), mais qu’on ne devrait pas employer en parlant, seul qu’en politiques.   


C’est un mot que je ne vais plus dire, mais il me semble qu’il y a une renaissance de l’emploi de ce mot par les autochtones eux-mêmes.  Je viens d’insérer un vidéo sur mon blog qui est une entrevue avec des Djs autochtones qui sont devenus très célèbres : A Tribe Called Red.  Un d’entre eux s’est nommé DJ NDN (get it ?)  Si c’est le cas d’une résurgence du mot, ce ne serait pas la première fois qu’une race utilise un mot péjoratif envers eux-mêmes et le rend acceptable si c’est eux qui le font.  Est-ce valorisant ?  Je ne vais jamais comprendre. 

Thursday, September 11, 2014

Can't wait to see Chet Faker next week...!